Un lapsus révélateur. Au cours de son interview mardi dans la matinale d'Europe 1, le chef de l'Etat a vu sa langue fourcher sur une possible candidature lors de l'élection présidentielle de 2017. "Il y a une alternative de droite qui existe, et si je ne suis pas… si la gauche n'est pas reconduite, ce sera la droite qui l'emportera, ou l'extrême droite", a-t-il annoncé. Avant de rappeler qu'il annoncera sa décision définitive "à la fin de l'année".