L’un préfère «ne pas commenter les histoires de bonnes femmes». L’autre profite de la question pour dresser un parallèle avec l’affaire Bygmalion. Un dernier accuse les journalistes - et surtout pas son parti - d’omerta. Interrogés sur l’affaire Denis Baupin, plusieurs élus de droite se sont illustrés pour leurs réactions peu empathiques à l’égard des femmes qui seraient victimes de harcèlement sexuel, voire peu critiques à l’égard de ceux qui les commettent. En voici trois qui se passent de commentaires.