Plusieurs centaines d'élus appellent ce mardi dans une tribune publiée dans le journal Libération les femmes politiques victimes de harcèlement sexuel à parler, afin que "la culpabilité change de camp". "Il faut libérer la parole dans notre parti et dans les autres pour que s'il y a d'autres cas ils soient révélés", explique notamment Eva Sas, députée EELV de l'Essonne. Une pétition a aussi été mise en ligne en ce sens, demandant notamment l'exclusion des élus auteurs de violences sexuelles.