Continuant du dernier feu, jusqu'au quel j'étais à peine arrivé, je me rends dans un couloir, contournant une salle de stockage de barils de poudre, plein de piques sur les murs, têtes de taureaux métalliques, lançant des courants de feu presque constamment et des sorcières fumerolles, remplissant les passages, déja assez serrés, de foudre.
Bien sur, au bout de cette promenade cauchemardesque m'attend encore un Monsieur Cranes-Crachants-De-La-Lave-Sur-Les-Epaules-D'un-Enorme-Mec-Décapité et le jambon élite se prend le temps à tenir la manette du mécanisme qui ouvre le chemin court (au lieu de la tirer) comme sa propre b*te. De la progression n'est pas atteinte et je commence à me décourager entièrement car mon personnage entièrement offensif justement souffre le châtiment qu'il est tel qu'il est à l’infini...
