Si un certain nombre de diplomates s'obstinent encore à parler de trêve en Syrie, pour les habitants d'Alep, ce cessez-le-feu, décrété il y a deux mois, est désormais un lointain souvenir.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, les raids meurtriers menés par le régime de Bachar Al-Assad ont causé la mort de 30 personnes, dont le dernier pédiatre exerçant dans les quartiers rebelles d'Alep, selon le bilan de la défense civile.