«Quand vous êtes sans arrêt en train de refuser les décisions du Conseil, de demander à un haut magistrat comment on peut contourner la jurisprudence du Conseil constitutionnel… Tout ça montre qu’on n’accepte pas les institutions, qu’on n’accepte pas l’Etat.» Actuellement en promo pour son livre Ce que je ne pouvais pas dire, Jean-Louis Debré n’épargne pas Nicolas Sarkozy.
L’ancien président du Conseil constitutionnel, en froid avec Nicolas Sarkozy («il me rend bien l’inimitié que je lui porte»), estime que «cette volonté de tout bousculer est un danger pour la République».
