Le député européen, invité ce dimanche du Grand Rendez-vous, "assume ses convictions" avec cette prise de position. Et de préciser : "si on ne l'interdit pas, au nom de la liberté et de la maturité, ensuite vous aurez naturellement des demandes de temps de sport séparés, (...) et puis cela aboutira à ce que certains refuseront de travailler en binôme".