Depuis le Palais de la Nation, le Premier ministre belge a rendu hommage ce jeudi "à tous ceux qui garderont des séquelles indélébiles dans leur corps et dans leur cœur" et aux "familles qui attendent des nouvelles de leurs proches". "C'est la liberté, au quotidien, qui a été massacrée. Les cris de détresse, les cris de douleurs, resteront à tout jamais gravés en chacun de nous. La violence aveugle, bête et méchante, a frappé", poursuit-il, saluant "la dignité du peuple belge".