Le temps partagé représenterait en France des dizaines de milliers d'emplois non pourvus. Pour Pascal, qui a perdu son CDI à un âge proche de la retraite, c'est une nouvelle manière de s'adapter aux nouvelles exigences du marché du travail. "Avec le temps partagé, on mutualise les risques. Un, deux, trois jobs... S'il y en a un qui lâche, on en a toujours deux", juge-t-il.