Dans « L’Obs » début janvier, Jérôme Garcin promettait un grand succès au premier roman d’un inconnu de 35 ans nommé Olivier Bourdeaut. Deux mois et des dizaines de milliers d’exemplaires plus tard, « En attendant Bojangles » s’est imposé comme la révélation de l’hiver.
Comment expliquer son succès ? Olivier Bourdeaut le mérite-t-il ? Que nous dit son roman sur les pouvoirs de la fiction ?
Grégoire Leménager, de « L’Obs », et Jean-Christophe Buisson, du « Figaro-Magazine », ne sont pas tout à fait d’accord.