Des personnes espèrent toujours passer de l'autre côté de la Manche, malgré le démantèlement d'une partie du bidonville de Calais depuis le début de la semaine. "Plus de 50 (personnes) ont réussi à passer la semaine passée", confirme Zimako, migrant nigérian et fondateur de l'Ecole de la Jungle. Des migrants se disent ainsi prêts à rester sur place pour atteindre leur objectif. Et les autorités redoutent de nouveaux squats sur le Calaisis.