Alors que l'Etat s'apprête à démanteler la partie sud du bidonville de Calais, les associations s'inquiètent du sort de quelques 300 mineurs isolés (sans famille) qui y vivent. Pour eux, l'attraction de l'Angleterre étant si
forte que, depuis le début de l'année, seule une vingtaine de mineurs isolés ont accepté de rejoindre les centres d'accueil mis à disposition par l'Etat français.