Rallier l’Iran à un gel de la production d’hydrocarbures à ses niveaux de janvier : c‘était la mission des ministres du pétrole d’Irak, du Venezuela et du Qatar ce mercredi à Téhéran.
L’Iran ne veut pas réduire sa production de pétrole https://t.co/e6FTlMj0ht— Les Echos (@LesEchos) 16 février 2016
En vain : tout juste libéré des sanctions internationales, l’Iran ne veut pas faire les frais d’une situation dont il n’est pas responsable, une position clairement défendue par son ministre du pétrole, Bijan Namdar Zanganeh, mardi : “il est important de noter deux choses : il y a un excès d’offre, mais l’Iran ne renoncera pas à son quota de production.“
Téhéran prévoit de renouer avec son quota antérieur aux sanctions d’ici la fin de l’année. Le pays estime que c’est aux membres de l’OPEP qui dépassent leurs quotas de réduire leur production pour soutenir les prix, Arabie saoudite en tête. Le royaume produit actuellement près de quatre fois plus que l’Iran.
Ipek Ozkardeskaya, analys