Des dizaines de milliers de déplacés syriens sont toujours coincés entre l'enfer d'Alep et les grilles de la frontière turque, toujours fermée. Alors que la Commission européenne demande à Ankara d'ouvrir ses portes, le Premier ministre turc a déclaré que son pays, qui a accueilli 2,5 millions de réfugiés, n'avait "pas de leçons à recevoir" de "ceux qui ne prennent pas leurs responsabilités".