Noël, les pieds dans l’eau. Un fantasme pour certains, une dure réalité pour d’autres.
Dans la jungle de Calais les fêtes de fin d’année n’offrent guère de répit aux plus de 5000 migrants qui s’entassent sur ces 18 hectares de lande.
Le froid et l’humidité fragilisent ces populations qui peuvent néanmoins compter sur l’assistance de bienfaiteurs.
Ils sont plus de 200 volontaires à œuvrer dans le camp, à l’instar de ce médecin britannique.
Syriens, Afghans et autres Soudanais, tous rêvent d’Angleterre, un Eden de plus en plus inaccessible. Mais pour répondre à l’urgence, un camp humanitaire de 1 500 places dans des abris en dur est en construction. Il devrait ouvrir ses portes à la mi-janvier.