La déchéance de nationalité a finalement eu sa place dans la réforme constitutionnelle. François Hollande a pris tout le monde de court avec ce revirement de situation, y compris lui-même. En effet, le premier qui a douté c'était surtout lui, affirme Apolline de Malherbe. Mais après une grande hésitation, le chef d'État a décidé d'honorer sa parole car il a compris qu'un abandon lui coûterait surement très cher. Avec cette décision, la droite sera désormais obligée de voter la réforme, ajoute-t-elle. - Bourdin Direct, du jeudi 24 décembre 2015, sur RMC.