L'institut a révisé à la baisse sa prévision de croissance en France pour le quatrième trimestre et anticipe désormais une progression de +0,2% contre +0,4% jusqu'alors. En cause : les attentats qui ont pesé sur le secteur du tourisme, la météo qui a freiné les dépenses de chauffage et le recul de la consommation des ménages.