Alors qu’un chercheur belge a créé un centre de "déradicalisation" à Malines, au nord de Bruxelles, la France déclare faire de même. Ce centre selon Europe 1, devrait ouvrir en mars prochain, mais le lieu est encore indéterminé, en cause les difficultés à faire accepter à une commune le fait d’accueillir des terroristes en puissance. Au programme de ces centres pour lesquels on cherche un nom : prise en charge psychologique, pédagogique, et professionnelle avec une aide à la réinsertion, mais aussi des modules de citoyenneté, comme par exemple la levée de drapeau hebdomadaire. En tout 10 mois pour réinsérer les jeunes dans la société. Deux types de structures devraient être ainsi créés, le premier destiné aux jeunes en voie de radicalisation sur admission volontaire à l’inverse du deuxième qui lui adapté aux radicaux confirmés serait fermé avec une admission sur injonction d’un juge.