Pour Emmanuel Macron, la société française a une « part de responsabilité » dans le « terreau » sur lequel le jihadisme a pu prospérer. Recadré une deuxième fois aujourd’hui, au Sénat par Manuel Valls, le ministre de l’Économie trouve toutefois du soutien auprès de Nicolas Sarkozy, lui-même désavoué par Nathalie Kosciusko-Morizet.