104 personnes ont été assignées à résidence lundi. Une quinzaine en Gironde, 8 dans la seule ville de Lunel (Hérault) ou encore 2 personnes à Toulouse. "L'état d'urgence permet (cette mesure) pour des individus qui ont des fiches S, ce qui les oblige à aller émarger trois fois par jour au service de police ou de gendarmerie", explique Michel Chouippe Macé, porte-parole de SGP FO Police Bordeaux. Le gouvernement a par ailleurs annoncé que les Français revenant de Syrie ou d'Irak pourraient être directement assignés à résidence lors de leur retour sur le sol français.