Attaquée dans une tribune sexiste parue le 6 novembre dans Le Point, la ministre de l’Education nationale préfère ne pas «s’encombrer l’esprit» avec cette affaire. Dans cette tribune, l’essayiste Jean-Paul Brighelli, délégué national à l’instruction publique du parti Debout la France, accuse Najat Vallaud-Belkacem d’user d’une stratégie de communication - «rouge à lèvres», «pendentifs aux oreilles», «soutif» - pour esquiver les questions gênantes à l’Assemblée nationale. «Quelqu’un qui, comme lui, se croit autorisé à donner des leçons sur l’école et commence par la qualifier de «fabrique du crétin», c’est vous dire la finesse légendaire du personnage», répond la ministre ce mardi sur France Info.