Athènes en a effet procédé à sa première relocalisation de migrants avec trente personnes parties au Luxembourg.
Le président du Parlement européen et le commissaire européen à l’Immigration Dimitris Avramopoulos ont visité un camp de réfugiés installé en périphérie de la capitale grecque.
“Je crois qu’il est relativement facile de comprendre qu’il ne s’agit pas seulement d’un problème grec. C’est un problème commun et européen et on peut le résoudre en travaillant tous ensemble”.
Pourtant, des manifestants proches de l’extrême-gauche grecque ont dénoncé cette visite et appelé à une véritable politique d’asile en Europe et à arrêter les guerres.
Alors que le HCR a évalué à quelque 800.000 personnes le nombre d’entrées illégal dans l’UE cette année, la politique initiée par les Vingt-Huit prévoit de relocaliser sur deux ans 160.000 réfugiés syriens, érythréens et irakiens pour la plupart arrivés en Italie et en Grèce.
En attendant, les réfugiés qui ont surmonté “la périlleuse