Parmi la centaine de jeunes Belges partis faire le jihad, certains continueraient de bénéficier d'allocations de leur pays d’origine. Des dizaines de milliers d'euros seraient en cause: la Sécurité sociale belge refuse de divulguer les informations au nom du secret professionnel. "C'est choquant, ce n'est pas normal. Il y a des gens qui en ont bien plus besoin. Je trouve cela odieux", a réagi un jeune Belge.