"Traumatisés" par leur interpellation et "traités comme des bandits", les salariés d'Air France poursuivis pour violence s'estiment désignés "coupables avant d'être jugés", tant par le gouvernement que la compagnie, qui a voulu selon eux "faire un exemple" pour éteindre la révolte. Ils se sont exprimés jeudi lors d'un entretien exclusif avec l'AFP mais n'ont pas souhaité être filmés. Durée: 01:35