Lorsque Grégoire reprend une partie de l’exploitation familiale en 2005, il est conscient que le niveau d’aides publiques dont il bénéficie n’a pas un caractère pérenne : il doit trouver les moyens d’accroître la valeur ajoutée pour s’y préparer. Pourtant plus agriculteur qu’éleveur, il développe un projet sur l’atelier vache allaitante. Pari gagné !