Les deux tiers du produit dégageant un gaz nauséabond qui s'est échappé d'une usine chimique de Rouen, senti jusqu'à Paris et en Angleterre, devraient être traités d'ici jeudi matin, alors qu'une enquête judiciaire a été ouverte, les soupçonnant une "négligence ou une faute" sur le site.