Une étude des chercheurs de l'INSERM démontre que les habitants les plus modestes de Paris sont plus vulnérables aux effets de la pollution atmosphérique. "On est tous égaux face au risque, riche ou pauvre, mais la vulnérabilité se matérialise par la proximité. Plus vous êtes près d'un axe de transport, plus vous êtes exposés à des polluants", explique Sébastien Vray, porte-parole de l'ONG Respire.