Alors que la Russie a ravivé son soutien au régime syrien, en France «aucun compromis» ne semble possible avec Bachar Al-Assad, selon le Premier ministre, Manuel Valls. Cette volonté est partagée dans l'ensemble de la majorité qui considère que le débat avec un dictateur est impossible. En revanche, la droite prône un accord et l'instauration d'un dialogue avec le président syrien.