Une centaine de policiers sont concernés par cette opération au siège de la police judiciaire parisienne, dans le cadre de l'enquête sur le viol d'une Canadienne en 2014. Quatre traces avaient été retrouvées sur ses sous-vêtements. Trois avaient été identifiés : celui de deux policiers mis en examen et celui du policier placé sous le statut de témoin assisté. Mais le quatrième ADN est encore inconnu, d'où cette rare opération.