Influencés par le ralentissement de l’activité économique en Chine, les cours du pétrole continuent à chuter.
Nicolas Maduro, le président vénézuélien, a réitéré sa demande d’une réunion des chefs d’Etat des pays membres de l’OPEP. Il a même proposé de fixer un prix minimum du baril de pétrole à 70 dollars. Caracas tire 96 % de ses devises des exportations de ses exportations de pétrole.
Le pays connaît depuis 2012 une pénurie de produits de base, entre autres de produits alimentaires et de médicaments faute de devises pour les importer.
“Vous avez des situations extrêmes, comme le Vénézuéla, l’Equateur, qui sont vraiment en grande difficulté, de l’autre côté, les compagnies pétrolières ne peuvent pas investir, c’est simple. Et d’ailleurs, on l’a vu les investissements sont en train de chuter partout dans le monde. Dans quelques années, on va se trouver dans une situation où on ne pourra plus satisfaire la demande et à ce moment-là, les prix vont s’envoler”, prévoit l’expert pét