28/8/2015 - Un tour dans les marchés de Lomé permet de se rendre compte du phénomène de la vie chère dénoncée par les associations de consommateurs. La conséquence pour les revendeuses, c'est la baisse des ventes alors que les dettes s'accumulent auprès des institutions de microfinance telles que la FUCEC (citée à plusieurs reprises)