"C'est moi qui suis le Front national, je suis chez moi au Front national", a déclaré Jean-Marie Le Pen vendredi sur RTL, au lendemain de son exclusion du parti.
M. Le Pen a expliqué avoir « dépassé le stade de la colère » pour atteindre « le stade du mépris », même si « un assassinat orchestré par sa propre fille n’est jamais réjouissant ».
Il a évoqué un « guet-apens », un « peloton d’exécution », commandé par sa fille mais « de loin, au téléphone » : "Marine Le Pen n’a pas tué papa elle-même. Elle l’a fait tuer par des sbires. Ça fait sale de tuer son papa."