Les parlementaires grecs ont débattu toute la nuit et ont adopté vendredi matin l'accord trouvé avec les créanciers. En acceptant de nouvelles réformes, il espèrent obtenir un prêt de 85 milliards d'euros sur trois ans. Le texte a été adopté par 222 voix pour, 64 contre et 11 abstentions. Le Premier ministre Alexis Tsipras avait appelé juste avant le vote l'Assemblée à voter en faveur d'un accord qui permet selon lui d'assurer "la survie du pays et de continuer le combat". Mais le parti Syriza est divisé.