5.300 km² de mer à survoler et 50 km de côtes à ratisser. À bord d'avions militaires et d'hélicoptères, le rivage de l'île est surveillé, pour y repérer le moindre débris flottant. À terre, la gendarmerie parcourt les plages de galets, concentrant son attention sur les éventuelles pièces d'aviation.