Le clip "Commun Malaise" complet : www.youtube.com/VolutesRocks
www.volutes.rocks
www.facebook.com/VolutesRocks
Le titre en téléchargement à prix libre (à partir de 0,25€) : volutesrocks.bandcamp.com
--------------
Volutes :
PH Katsos (batterie), Samuel Hall (guitare) , Adrien Anastaze (basse), Christophe Guillemin (chant)
Modèle : Amanita
Productrice exécutive/Régisseuse : Laurence Haedens
Réalisateur/DP : Kevin Brunet
Assistant Réalisateur : Thierry Marcos
Maquillage/Stylisme : Sandra Brakha - Paris New Style
Assistant Opérateur : Julien Gerard
Électriciens : Leonard Sobrino - Alexandre Villemin
Photographe Plateau : Frédéric Grafft
"COMMUN MALAISE"
Enregistrement/Mixage : Edouard Bonan - Ed-Room Studio
Direction Artistique : Sébastien Tanquart
Mastering : Benjamin Joubert
REMERCIEMENTS :
Afternoon Sessions, CAE Clara, Thomas Buggin, Gabrielle Deydier-Ginette , Philippe Antronico, Marie-Adelaide Pierre , Pamela Mouchiroud, Olivier Huguenard, Sismic Music, Puzzle Video, Panalux et toute son équipe, RVZ, Maryna Lobosok et Aaron Brunet
--------------
A quelle heure, à quelle heure ont eu lieu,
Nos échanges en hébreux
J’aimais mélanger nos salives
Devant tes poses lascives
A quel point tes fantômes affolés
Te manœuvraient au point de me pointer
Du doigt comme responsable
De ton jardin de sable
Refrain :
Y’a commun malaise
Entre nous deux
Y’a comme une falaise
Entre nous deux
A quel tourment à présent latent
Se traduisait ta frénésie
Le dernier souffle de ton balancement
Trahissais ton instinct d’hystérie
A quel instant as-tu débranché
Ton désir sans crier gare
Et ainsi égaré tes pensées
Au fond d’histoires barbares
Refrain :
Ces communs malaises
Entre nous deux
Ces communes falaises
Entre nous deux
S’approchant peu à peu l’un de l’autre
Et assouvir le souvenir de caresses douces
De Baisers couchés
Quelques alcôves rousses
Mon corps ébranlé, ton corps en ascension
Plongés dans un bain de mousse
Les courbes de ton cul
Un serment venu de loin au ralenti
Perce un fragment de ta peau meurtrie
D’où un bruissement jaillit
Et des incohérences à ta rescousse
