L’Allemande Angela Merkel estimant que “la valeur la plus importante, à savoir la confiance a été perdue”, le Français François Hollande déclarant vouloir “tout faire pour garder la Grèce dans la zone euro”... Les dirigeants européens sont arrivés divisés sur la marche à adopter vis-à-vis d’Athènes. Alexis Tsipras a bien compris l’intérêt d’appeler à l’unité de l’Europe.
“Je suis prêt à un compromis honnête, a déclaré le chef du gouvernement grec. Nous le devons aux peuples d’Europe qui veulent une Europe unie et pas divisée. Nous pouvons parvenir à un accord ce soir si toutes les parties le souhaitent.”
En préambule au sommet, l’Eurogroupe s’est mis d’accord sur une liste de nouvelles exigences vis-à-vis d’Athènes concernant des mesures sur le marché du travail, les retraites ou encore la fiscalité.
“Nous venons de terminer notre réunion, a déclaré son président
Jeroen Dijsselbloem. Nous avons fait un long chemin mais il reste quelques problèmes importants à régler. Maintenant,