Yassin Salhi se trouve depuis hier soir au siège de la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire à Levallois-Perret qui tente de comprendre ses motivations. Si l'homme a avoué le meurtre de son patron Hervé Cornara, il s'agit maintenant d'établir son tissu relationnel. Hier, on apprenait qu'un selfie macabre avec la tête de sa victime décapitée avait été envoyé à un djihadiste français en Syrie.