La Commission n’a pas réussi à imposer sa logique et la répartition des 40 000 demandeurs d’asile arrivés en Italie et en Grèce sera organisée sans aucune obligation, mais la formule vaut engagement contraignant selon des sources européennes citées par l’AFP.
Une perspective qui a suscité une déclaration très ferme du président du Conseil italien, Matteo Renzi : “si face à un petit nombre comme 40.000 personnes il n’y avait pas eu de solidarité, cela aurait été une parodie d’Europe.L’Europe est née quand l’Italie et 5 autres pays ont imaginé un idéal de liberté et de démocratie avec des valeurs partagées. Il est impensable qu’elle devienne la maison de l‘égoïsme, l’Europe est la maison de valeurs partagées”.
La Hongrie qui avait qualifié le plan de la Commission “d’absurde” et la Bulgarie, l’un des pays les plus pauvres de l’Union ont obtenu des exemptions.
Le chancelier autrichien Werner Faymann a rappelé “qu’au total, sept pays ont refusé une répartition avec des quotas obligat