Ce dernier bilan a été fourni hier par le secrétaire à la Santé de la province du Sindh, la plus touchée par cette vague de chaleur meurtrière. La température, qui atteignait ce week-end les 45 degrés, est descendue hier à 37.
“À l’heure actuelle, le Pakistan est devenu un pays à haut risque en matière de changement climatique. Ce que vous voyez actuellement, nous le verrons sans doute bien plus à l’avenir. Nous devons donc nous y préparer”, prévient Asghar Nawaz, président de l’Autorité nationale de gestion des catastrophes.
Pour éviter une aggravation de la situation, les autorités religieuses permettent aux Musulmans qui font actuellement le Ramadan de boire durant la journée. À cette période, les fidèles ne sont censés s’alimenter qu‘à la nuit tombée.
Avec AFP et EFE