L’essentiel de “Overpowered” a été écrit au pied levé avec des partenaires que je ne connaissais pas avant de travailler sur le disque. C’était quelque chose de neuf pour moi et j’ai beaucoup appris. La contribution de Seiji a été capitale, il m’a aidé à aborder cette musique qui m’obsédait de manière moderne.
J’ai enregistré six albums au cours de ma carrière qui n’ont pas tous fonctionné comme je l’aurais souhaité… Aujourd’hui, les chiffres de vente de tout le monde sont sur Internet. Jimmy Douglass m’a fait remarquer qu’on ne pouvait plus tromper personne. A Miami, c’est lui qui nous emmenait en studio le matin, et il disséquait la musique noire qui sortait des haut-parleurs de son autoradio. Il nous a démontré à quel point elle est simple. Il n’est pas du genre à faire des compliments, mais à la fin de l’enregistrement de “Checking On Me”, il a consenti à lâcher que j’avais vraiment assuré.