"Nous nous devons d'avancer, de réformer, c'est le sens de ce texte", a expliqué mardi Manuel Valls, pour justifier l'emploi du 49.3 sur la loi Macron. "Au lieu de vous attaquer aux personnes, ayez le courage de présenter un projet alternatif", a-t-il lancé à Christian Jacob qui l'avait comparé à un "fétu de paille" et raillé Emmanuel Macron, "pure produit de la technocratie". "Vous êtes enfermé dans une position stérile. Le pays a besoin d'avancer", a-t-il également critiqué.