Après dix mois d’expérimentation, le contrôle des chômeurs n’a pas convaincu certaines associations et syndicats. Pour eux, les fraudes sont minimes et c’est l’accompagnement personnalisé des demandeurs d’emploi qu’il faut privilégier, pas les sanctions. Le dispositif aurait été pourtant bien accueilli dans les trois régions testées, avec 93% de satisfaction chez les conseillers et près de 80% d’avis favorables des demandeurs d’emploi.