Depuis dix ans le plus gros producteur français fait appel à des demandeurs d'asile pour compléter ses équipes de cueilleurs de muguet. Cette année ils seront 170 recrutés par une association à Nantes.
Une pratique décriée par certains habitants mais qui fait le bonheur de ces étrangers qui n'ayant pas la possibilité de travailler légalement tant que l'asile n'est pas accordé. "Le travail c'est l'intégration", affirme un cueilleur novice .