La division persiste à Charlie Hebdo trois mois après l'attentat qui a décimé sa rédaction: quinze salariés ont de nouveau réclamé un statut "d'actionnaires salariés à part égale" du journal. Ils expliquent ce mercredi dans une tribune du Monde "refuser qu'une poignée d'individus prenne le contrôle" de l'hebdomadaire. Les salariés craignent que le journal satirique soit devenu "une proie tentante" et fasse "l'objet de manipulations politiques et financières."