Pour la première fois, des gendarmes ont pu accéder par voie terrestre au site du crash de l'A320 qui s'est écrasé mardi dernier en pleine montagne. La piste d'environ quatre mètres de large, toujours en construction, doit permettre de laisser passer des 4x4 et des camions, pour acheminer davantage de personnes et évacuer plus facilement les grosses pièces de la carlingue. Les communes voisines et les entreprises locales qui connaissent le terrain ont été mises à contribution. Pour se recueillir sur les lieux du drame, les familles des victimes devront attendre encore au moins un mois, le temps que l'enquête et le travail de décontamination soient terminés.