L’abstention est moins importante que ce que les sondeurs l’estimaient. Avec des premières estimations qui la donnent autour de 49%, elle est moins forte que lors des cantonales de 2011 qui avaient vu 55% des inscrits s’abstenir. Pourquoi ? A qui peut profiter cette participation supplémentaire ? Réponse avec Françoise Fressoz, édit