Des militants de mouvements citoyens qui ont été à la pointe de la mobilisation contre le pouvoir au Sénégal et au Burkina Faso sont retenus à Kinshasa pour tentative de "déstabilisation", en plein débat sur un éventuel troisième mandat du président congolais Joseph Kabila. Les autorités congolaises les accusent d'avoir préparé des actes de violence. A Dakar, le mouvement "Y'en a marre" rejette ces accusations et réclame la libération de leurs collègues.