Une étude menée par Générations futures sur 28 femmes âgées de 20 à 35 ans a révélé que les parisiennes sont particulièrement exposées aux pesticides, qui se retrouvent en grande partie dans leurs cheveux. Le nombre de résidus prélevés par échantillon de cheveux varie de 12 à 32. Certains d'entre eux pourraient même être cancérogènes.