Manuel Valls a déclaré mardi à l'Assemblée nationale qu'il ferait "tout" pour que la loi Macron "passe", en réponse au chef de file des députés UMP Christian Jacob qui lui demandait s'il engagerait sa responsabilité sur ce texte. Le Premier ministre s'en également pris à son adversaire en estimant que son groupe n'était pas capable de choisir entre la république et l'extrême droite.