La journaliste grecque Thomaïs Papaioannou décrypte les premières estimations des résultats des législatives grecques. "L'élan est bien plus important que les sondages donnés", constate-t-elle. "Alors soit les Grecs ont pensé : 'il ne faut pas gâcher mon vote, il va falloir y aller fort', soit les sondeurs se sont trompés". Autre phénomène observable lors de ces élections : "Aube dorée, le parti fasciste néonazi risque d'être le troisième parti."